L’objet de l’étude est de proposer au propriétaire du bâtiment de la Maison de l’emploi (Ville de Saint-Étienne) un projet conception graphique sur vitrophanie sur l’ensemble des coursives qui s’harmonise avec l’architecture originale de ce lieu.

Des voilages ont été conçus par l’architecte tout autour des coursives qui surplombent l’atrium central de la maison, sur les trois niveaux supérieurs.

Selon Rudy Ricciotti, ces tentures avaient trois fonctions :

• esthétique : adoucir les lignes géométriques des étages
• anti-vertige : atténuer l’aspect anxiogène, notamment en hauteur
• discrétion : ne laisse voir que l’ombre des visiteurs

Au fil du temps, ces rideaux se sont détériores, voir pour certains, détachés. De plus, le coût d’entretien de ces textiles et très coûteux pour la collectivité puisqu’il faut faire appel pour leur montage et leur démontage à une équipe spécialisée qui travaille avec du personnel et des équipement d’escalade.

Une réflexion s’est faite pour modifier ces éléments de décor et les remplacer par une vitrophanie sur les garde-corps de ces coursives.

Ce nouveau concept permettra de conserver les principales fonctions des anciens rideaux mais avec un investissement plus durable et plus économe en fonctionnement.